C'était on ne sait plus quand On ne savait pas qu'il y avait des retours On ne brulait que de départs
C'était on ne sait plus quand Nous étions amoureux chaque jour d'une apparition nouvelle Pourtant nous ne connaissions encore rien de l'attrait des passantes
Et puis, tout à coup et une fois de plus, on ne sait plus trop.
Ce sera on ne sait quand On aura tellement d'années que ca nous surprendra Et on retombera amoureux d'une passante
Nous ne serons, avouons le nous maintenant, jamais marlon Brando
Et puis, tout à coup, des fascinants
Ce sera on ne sait quand Quand les poules auront des dents Et Que souffleront les grands vents
C'était on ne sait plus quand Tout paraissait si lointain Quand tout n'était que déjà très proche
Partir très loin, revenir doucement.
C'est mardi, so what ? C'est mardi, non, rien C'est mardi, en fait...
C'est lundi d'un bout de la planète à l'autre et l'on se sent rentrer dans l'histoire de l'humanité (ca peut même arriver les lundis) en croisant des inconnus dans le métro que nous ne reverrons jamais...sauf si on habite à paris avec ce site.
C'est mardi et on ne sait plus trop où on en est, même les cartes ne nous aident plus.
C'est dimanche et l'on revient aprés avoir tiré sur nos forces motrices. C'est dimanche, merci les oranges. It's sunday and we come back for everything to start again. It's sunday and we let a lot behind, hope to have more before. It's sunday, isn't it...
C'est jeudi, dans le champ des souvenirs, on revoit des cons battants sous la mitraille. Pour laisser s'échapper le trop plein de mémoire empruntée, on ouvre les yeux. Et sur la plage, des vagues, toujours des vagues, encore et encore, l'une après l'...
C'est lundi, on est parti en laissant la ville s'effondrer. C'est lundi, on a passé des champs, des lacs, des rivières. C'est lundi, par-delà les montagnes, on a trouvé des plaines noires de loups.
C'est lundi et le soir tombe. C'est lundi, des rencontres, ou pas. C'est lundi, et si on écoutait rokia ?
C'est mercredi, clip, clop, clip, clop.... C'est mecredi, une brique. C'est mercedi, dansez maintenant.
C'était on ne sait plus quand On ne prenait pas l'avion si souvent On n'avait pour ainsi dire même jamais pris le train
C'était on ne sait plus quand Internet n'était pas encore là Et on faisait certainement autre chose.